Le gouvernement algérien publie de nouvelles règles de prévention, d’intervention et de réduction des risques de catastrophes.
Le texte de loi, publié dans le journal officiel [4] le 18 mars 2024, interdit les constructions dans six zones à risque de catastrophes naturelles et industrielles. Il s’agit notamment des zones de failles sismiques jugées actives, des terrains à risque géologique, des périmètres de sécurité des zones industrielles, des terrains inondables.
Les entreprises et particuliers qui enfreignent la nouvelle loi se verront infliger de lourdes sanctions : un emprisonnement de 3 à 5 ans, en plus d’une amende de 600 000 DZD (4 421 USD).